15. Luc Mishalle
Mon intérêt et mon engagement politiques remontent à loin. Si loin que je saurais pas vous dire quand exactement. En tant qu'artiste, je m'intéresse principalement à la politique culturelle, tant au niveau local que de la ville. À Anderlecht, je suis actif dans ce domaine depuis des années, d'abord en tant que membre et maintenant en tant que président du conseil culturel.
En tant que musicien, j'ai un bon contact à Anderlecht avec l'ancienne échevine et députée Elke Roex. Nous jouons tous les deux du saxophone. Progressivement, sous son impulsion, je me suis impliqué dans la mise en place de projets à Anderlecht. J'ai ainsi été l'un des moteurs du grand événement musical pour les 1000 ans de Saint-Guidon, du projet Cosmogolem de Koen Van Mechelen et de la création d'un ensemble musical local.
C'est donc dans le domaine de la culture que mon engagement est le plus visible, mais les opportunités de croissance sont également à l'ordre du jour. Récemment, j'ai pris un nouvel engagement très important en tant que conseiller au CPAS d'Anderlecht.
Qui je suis
Je suis né et j'ai grandi à Anvers, où j'ai étudié à l'Ufsia et à l'UIA (aujourd'hui Université d'Anvers), où j'ai obtenu une licence en droit. J'ai été très actif dans les groupes de travail des étudiants, notamment en tant que responsable de la culture, et j'ai également joué et étudié la musique de manière poussée.
Après mes études, j'ai travaillé plusieurs années en Angleterre en tant que manager/directeur musical d'une grande troupe de théâtre. De retour en Belgique, j'ai fait carrière dans des théâtres internationaux et j'ai fondé MetX. Avec MetX, j'ai produit un certain nombre de spectacles musicaux novateurs et développant le sens de la communauté. D'abord à Anvers, puis dans le Brabant wallon et maintenant depuis plus de 20 ans à Bruxelles. Au niveau politique, j'ai été actif en tant que président de la commission musique de la Communauté flamande.
Bruxelles pionnière internationale
Je rêve que Bruxelles puisse continuer à jouer son rôle de pionnier international dans le domaine des arts, en investissant davantage dans le renforcement des communautés. La région bruxelloise doit rester un phare du positivisme, d'une communauté soudée dans toute sa diversité.