Des soins abordables et accessibles pour tou·te·s les Bruxellois·es.

Le système de soins en néerlandais n’est pas accessible à l’heure actuelle. De nombreux médecins généralistes doivent refuser de nouveaux patients, il faut souvent patienter plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous chez le dentiste ou chez un psychologue et la facture médical est souvent trop élevée. Et le service en néerlandais dans le secteur des soins n’est pas garanti à Bruxelles. Dans les services d'urgence de plusieurs hôpitaux bruxellois, par exemple, il faut se démener pour être aidé en néerlandais

Le paysage des soins de santé à Bruxelles est beaucoup trop complexe. Pas moins de six gouvernements sont responsables de l'assistance et des soins de santé à Bruxelles. Les hôpitaux, par exemple, relèvent de la compétence fédérale, tandis que les centres de soins résidentiels relèvent de la compétence flamande. Tout le monde est compétent et personne n'est responsable. Résultat : pour obtenir des soins adaptés en néerlandais à Bruxelles, il faut se frayer un chemin dans un micmac de réglementations et d'institutions. Ça ne peut plus durer. Il faut régler la situation pour que tou·te·s les Bruxellois·es aient facilement accès à des soins adaptés.

Que propose Vooruit.brussels ?

  • Nous voulons des soins abordables: Grâce à Vooruit, tout le monde peut se rendre chez le généraliste pour 4 euros, les enfants et les jeunes peuvent aller gratuitement chez le dentiste et on peut consulter un psychologue pour seulement 11 euros. Nous supprimons les suppléments d’honoraires et assurons un meilleur remboursement. Frank a en outre veillé à ce que le maximum à facturer soit étendu pour couvrir les ménages les plus fragiles. Ce qui signifie concrètement que les ménages à faibles revenus ne doivent jamais payer plus de 250 euros par an pour leurs soins. Nous avons négocié le tournant vers des soins abordables, mais il y a encore beaucoup à faire.
  • Nous voulons moins de listes d'attente: Vooruit a investi 1 milliard dans le personnel soignant, pour améliorer les salaires comme les conditions de travail et rendre ainsi le secteur plus attractif. Nous le faisons également avec les Zorgambassadeurs, les ambassadeurs des soins. Nous agrandirons les centres de santé mentale et augmentons la capacité d’accueil en psychiatrie.
  • Nous voulons des soins proches des patients: Nous renforçons les soins de première ligne via des centres multidisciplinaires avec médecins généralistes, infirmiers, psychologues... Nous mobiliserons des équipes mobiles de crise pour proposer des soins dans la rue. Nous organiserons des guichets physiques pour les services d’assistance comme les CPAS et les CAW, ouverts assez longtemps pour que ceux qui travaillent puissent s’y rendre sans rendez-vous.
  • Nous voulons une garantie de services en néerlandais : Les hôpitaux seront tenus d'élaborer de nouveaux plans de politique linguistique modernes qui vont au-delà de la simple offre de cours de langue. Il sera possible d'offrir de meilleurs soins en néerlandais en constituant des équipes, en faisant appel à des agents de liaison et en utilisant la technologie. Nous exigeons que tous les services d'urgence soient bilingues. Nous maintiendrons ce service en néerlandais. Nous ferons également en sorte que le patient puisse choisir dans l'ambulance d'être transporté dans un hôpital néerlandophone.
  • Nous voulons moins de structures et plus de centralisation : Nous simplifierons la structure des compétences en donnant à la Région bruxelloise les rênes de la politique d’assistance et de santé, avec des verrous budgétaires pour garantir l'offre de soins aux Bruxellois·es néerlandophones.